LAX
Lors du précédent voyage, nous avions conclu les festivités par une séance de spotting à San Francisco. Notre parcours nous a entraîné, donc, cette fois, à Los Angeles International (LAX). La météo était juste un peu moins clémente. D’ailleurs, on notera, non sans une certaine ironie, que nous avons connu la pluie au cours de ce séjour alors que ce fut pratiquement, le seul passage humide sur la Californie de l’année !! Heureusement, nous sommes passés souvent entre les gouttes et nous sommes rentrés en France avec 100% de nos objectifs atteints.
Une fois à l’aérogare, les grandes baie vitrée avec vue sur les pistes nous ont donc contraints à ressortir les appareils photos. De toute façon, pour passer le temps en attendant notre avion, on a du mal à trouver mieux.
On pardonnera la qualité moyenne de ces clichés. En plus de l’épaisseur des vitres teintées, il a fallu composer avec un temps assez couvert et un peu grisâtre. Mais là encore, un petit facteur chance a joué pour nous puisque, vu notre emplacement, si le temps n’avait pas été nuageux, ces clichés, pour la plupart, auraient étés durement à contre-jour !

Spirit est une compagnie qualifiée de « ultra-low-cost » qui exploite une grosse centaine d’Airbus. Elle traîne une réputation peu enviable en termes de services à bord.

Souligner les vitres du cockpit pour en modifier la silhouette, une mode bien établie, désormais, et avec des résultats sympas comme sur ce 321 d’Air Canada.

Après les îles Fidji, on reste dans les sanctuaires rugbystiques avec ce 777 Air New Zealand, porteur de la fougère emblématique de son équipe mondialement connue et référence absolue dans ce sport, les All Blacks.

Un Embraer 195 de Delta roule vers sa porte d’embarquement tandis qu’un Boeing 747-8F japonais s’envole vers l’ouest.

Ce très anonyme Boeing 747-400F appartient à la compagnie cargo Atlas Air qui en exploite une grosse quarantaine d’exemplaire.

L’avion du retour arrive, c’est la fin des vacances. A noter que cet appareil, le F-HPJE, est mondialement célèbre depuis qu’une panne l’a obligé à passer plusieurs semaines à Goose Bay en 2017…
Après 2500 km en 10 jours, et en ce qui me concerne une petite moisson d’environ 5000 clichés, nous sommes donc rentrés à Paris.
Le voyage avait vraiment débuté ici, un endroit majestueux. Et donc, même si elle est un poil hors-sujet, voici une de mes photos préférées ramenées de ce périple. Comment s’en lasser ?!
On reviendra !
Donc, à suivre, forcément, ne reste qu’à fixer une date !